Monday, November 24, 2014

Carla Bruni - Quelqu’un m'a dit (à l’Olympia et version originale)






QUELQU'UN M'A DIT 
On me dit que nos vies ne valent pas grand choseElles passent en un instant comme fanent les rosesOn me dit que le temps qui glisse est un salaudQue de nos chagrins il s'en fait des manteauxPourtant quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encoreC'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encoreSerait-ce possible alors?
On me dit que le destin se moque bien de nousQu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet toutParaît que le bonheur est à portée de mainAlors on tend la main et on se retrouve fouPourtant quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encoreC'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encoreSerait-ce possible alors?Serait-ce possible alors?
Mais qui est-ce qui m'a dit que toujours tu m'aimais?Je ne me souviens plus c'était tard dans la nuitJ'entends encore la voix, mais je ne vois plus les traitsIl vous aime, c'est secret, lui dites pas que je vous l'ai ditTu vois quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encoreMe l'a-t-on vraiment ditQue tu m'aimais encoreSerait-ce possible alors?
On me dit que nos vies ne valent pas grand choseElles passent en un instant comme fanent les rosesOn me dit que le temps qui glisse est un salaudQue de nos tristesses il s'en fait des manteauxPourtant quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encoreC'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore
Serait-ce possible alors?

Monday, November 3, 2014

La Vela Puerca - ZAFAR



From Uruguay




ZAFAR
Soy de la ciudad con todo lo que ves,
Con su ruido, con su gente, consume vejez.
Y no puedo evitar, el humo que entra hoy,
Pero igual sigo creciendo, soy otro carbón.

No voy a imaginar, la pena en los demás,
Compro aire y si es puro, pago mucho más,
No voy a tolerar, que ya no tengan fe,
Que se bajen los brazos, que no haya lucidez.

Me voy volando por ahí,
Y estoy convencido de ir
Me voy silbando y sin rencor
Y estoy zafando del olor.

Me encontré con la gente, que sabe valorar,
Que de turista en la capital han sabido vagar.


Y no ha encarado al fin la cruda realidad,
De respirar hollín, de llorar alquitrán,
Y empiezo a envejecer, sudando mi verdad
Criado pa´ toser, con mucha variedad.
Y adonde ir a para, cargando con mi olor.
Deberíamos andar desnudos pa´ sentirnos mejor.

Me voy volando por ahí,
Y estoy convencido de ir
Me voy silbando y sin rencor

Y estoy zafando del olor.



Saturday, November 1, 2014

Carlos Santana - Let' the Children Play & Oye Como Va




LET THE CHILDREN PLAY (1977)


LET THE CHILDREN PLAY
Let the children have their way
Let the children play
Let the children play

Yo le digo caballero
Que los niños le quieren jugar
Ellos tienen que jugar
Ellos tienen que jugar

Let the children play
Ellos tienen que jugar
Ellos tienen que jugar
Let the children play


OYE COMO VA (Live)


OYE COMO VA
Oye como va, mi ritmo,
Bueno pa' gozar, mulata.
Oye como va, mi ritmo,
Bueno pa' gozar, mulata.